Comment appelle -t-on une personne qui:
- squatte illégalement plus de 50 m2 d'espace public?
- construit sans permis un bâtiment sur un terrain qui ne lui appartient pas?
- détourne pour son usage personnel du mobilier public?
- ne paie pas les dizaines de milliers d'euros d'amende auquel il a été condamné?
La réponse est dans "la Provence" du 28 mai dernier, qui rendait compte du dernier Conseil Municipal.
La réponse est donc: un naïf.
Je suis sur que vous n'auriez pas deviné tout seul...
Ce resto, ce n'est pas la Traviata qu'il fallait l'appeler, c'est Calimero!
Il faut reconnaiter que, moi aussi, je suis contre l'acharnement thérapeutique. Car, en fait, on est bien là devant un cas typique de cette douloureuse situation, avec tout un enchainement de tentatives de sauvetage sans réel espoir.
Etape 1; avant la naissance, n'aurait-il pas été plus humain (pour les parents en particulier) d'effectuer un avortement thérapeutique. Quel est le médecin qui a décidé de mettre au monde quand même cet enfant monstrueux? Quel type de vie a-t-il pu leur faire miroiter?
Etape 2: à la naissance, on a pu faire croire qu'une suractivité, essentiellement nocturne, avec un seau, une brosse et des feuilles de papier, pouvait renforcer les chances de vie. On est plus dans la magie noire que dans la médecine.
Etape 3: juste après la naissance, était-ce bien nécessaire d'envoyer un infirmier tous les jours s'asseoir au chevet du petit malade? Bon, ça l'a rassuré, mais à quoi bon?
Etape 4: au moment où la majorité des médecins était d'accord pourabréger les souffrances, quel est ce Grand Patron qui décide qu'il n'y a pas d'urgence, parce qu'il y a d'autres malades dans le même service? Même la saignée, qui est pourtant indispensable, se voit repoussée...
On aimerait quand même bien connaitre cette équipe médicale atypique: Dr House, Dr Who, Dr Folamour, Dr Frankenstein? Le médecin chef a bien un visage, non?
Allez, soyez humains: DEBRANCHEZ LE MALADE!