15 janvier 2010
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16:54
Comme indiqué hier, c'est le chantier dans les rues Mérindol et Nostre Seigne: bull dizers (2!!!) camions (plus quelques véhicules personnels, puisque la rue est barrée, n'est ce pas?)
Du coup, nos rtas Noirs sont tout déboussolés et ne savent plus que faire.. enfin, déboussolés, pas au point d'aller jusqu'au container...
Du coup, vers 8h50, c'est un peu la panique: rue Mérindol, au calme, à l'autre bout:
mais aussi rue des Muletiers, à l'abri du tohu-bohu:
Bref c'est le désordre. On n vient à regretter le bon vieux temps de l'alignement à la prussienne de nos meilleurs jours. Comment je tiens mes statistiques, moi?
En revanche, dans l'après-midi, un ouverture se présente: les camions sont partis vaquer à leurs occupations. Illico, avec un sens de l'opportunité remarquable, on saisit l'occasion. ce qui fait que vers 15h, retour aux bonnes habitudes:
C'est probablement un Rat Noir prudent qui craint d'être bloqué par les engins de chantier, et qui veut s'assurer un minimum de confort.
On pourrait aussi suggérer qu'un agent de la Brigade Verte passe la nuit pour guetter les indélicats... On peut rêver, non?
Du coup, nos rtas Noirs sont tout déboussolés et ne savent plus que faire.. enfin, déboussolés, pas au point d'aller jusqu'au container...
Du coup, vers 8h50, c'est un peu la panique: rue Mérindol, au calme, à l'autre bout:
mais aussi rue des Muletiers, à l'abri du tohu-bohu:
Bref c'est le désordre. On n vient à regretter le bon vieux temps de l'alignement à la prussienne de nos meilleurs jours. Comment je tiens mes statistiques, moi?
En revanche, dans l'après-midi, un ouverture se présente: les camions sont partis vaquer à leurs occupations. Illico, avec un sens de l'opportunité remarquable, on saisit l'occasion. ce qui fait que vers 15h, retour aux bonnes habitudes:
C'est probablement un Rat Noir prudent qui craint d'être bloqué par les engins de chantier, et qui veut s'assurer un minimum de confort.
On pourrait aussi suggérer qu'un agent de la Brigade Verte passe la nuit pour guetter les indélicats... On peut rêver, non?