16 mars 2010
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18:34
Je demande ce que vous allez penser de moi: un vieux mec radoteur qui passe sa vie à tourner en rond dans le même secteur qui prend toujours des photos aux mêmes endroits... Et bien, J'ASSUME!
Allez hop, c'est reparti. Ce matin à 8h15, branle-bas de combat. On démarre au coin des rue Mérindol et Nostre-Seigne.
L'effet de perspective soigneusement calculé permet de vérifier que le chauffe eau ne s'est pas envolé. Pas de miracle!
On continue notre petit chemin par la rue de la Treille. Juste à coté du container.
L'opération déstockage des invendus/invendables continue. mais il n'y a plus de pub... Vous croyez que Sony a préféré se dissocier de la campagne de communication?
Allez, on fait 5 mètres jusqu'à ma boite de nuit favorite.
On s'obstine à rendre difficile le travail du photographe. Notre "point critique" habituel est vide de poubelles! ben ça alors... mais on remarquera à gauche qu'on a laissé une bouteille vide et des emballages. Service minimum.
Surprise, je suis ressorti vers Midi. Et je suis passé rue Lieutaud (le petit bout). jamais déçu, dans ce petit bout de chemin;
Au passage, vous avez remarqué comme un petit rayon de soleil rend tout de suite un carton-pizza beaucoup plus poétique?
Et c'est reparti vers 17h45, un nouveau petit tour: Rue de la Treille.
Le petit coin de la boite de nuit a repris sa figure habituelle. C'était une erreur ce matin.
Un petit peu plus loin, à coté du container, changement de décor:
Là, j'avoue que je manqué de réflexe. J'aurais du aller voir de plus prêt ce qu'il y a dans ces boites. Peut-être des postes à galène?
Et on repasse par la rue Nostre-Seigne. Au bout, on revient rue Mérindol. Check-point.
Là encore, le petit rayon de soleil, toujours printanier quoique vespéral donne une autre gueule à tout ça.
Nota: je n'ai pas re-photographié le chauffe-eau, mais que les agnostiques se rassurent, toujours pas de miracle, il est encore là....
PS: pour mes camarades des services antigraffitis:
eh les copains!, vous m'avez oublié?
Juste comme ça, une idée. Si j'écris sur la porte, en noir et en gros, une phrase injurieuse pour quelqu'un d'important dans le paysage politique aixois. Tiens, au hasard, Fabrice Lucchini.
Est-ce que ça accélérerait le mouvement?
Allez hop, c'est reparti. Ce matin à 8h15, branle-bas de combat. On démarre au coin des rue Mérindol et Nostre-Seigne.
L'effet de perspective soigneusement calculé permet de vérifier que le chauffe eau ne s'est pas envolé. Pas de miracle!
On continue notre petit chemin par la rue de la Treille. Juste à coté du container.
L'opération déstockage des invendus/invendables continue. mais il n'y a plus de pub... Vous croyez que Sony a préféré se dissocier de la campagne de communication?
Allez, on fait 5 mètres jusqu'à ma boite de nuit favorite.
On s'obstine à rendre difficile le travail du photographe. Notre "point critique" habituel est vide de poubelles! ben ça alors... mais on remarquera à gauche qu'on a laissé une bouteille vide et des emballages. Service minimum.
Surprise, je suis ressorti vers Midi. Et je suis passé rue Lieutaud (le petit bout). jamais déçu, dans ce petit bout de chemin;
Au passage, vous avez remarqué comme un petit rayon de soleil rend tout de suite un carton-pizza beaucoup plus poétique?
Et c'est reparti vers 17h45, un nouveau petit tour: Rue de la Treille.
Le petit coin de la boite de nuit a repris sa figure habituelle. C'était une erreur ce matin.
Un petit peu plus loin, à coté du container, changement de décor:
Là, j'avoue que je manqué de réflexe. J'aurais du aller voir de plus prêt ce qu'il y a dans ces boites. Peut-être des postes à galène?
Et on repasse par la rue Nostre-Seigne. Au bout, on revient rue Mérindol. Check-point.
Là encore, le petit rayon de soleil, toujours printanier quoique vespéral donne une autre gueule à tout ça.
Nota: je n'ai pas re-photographié le chauffe-eau, mais que les agnostiques se rassurent, toujours pas de miracle, il est encore là....
PS: pour mes camarades des services antigraffitis:
eh les copains!, vous m'avez oublié?
Juste comme ça, une idée. Si j'écris sur la porte, en noir et en gros, une phrase injurieuse pour quelqu'un d'important dans le paysage politique aixois. Tiens, au hasard, Fabrice Lucchini.
Est-ce que ça accélérerait le mouvement?