Dimanche 18 avril 2010: objets divers

Ce week end, nous nous concentrons sur des trouvailles un peu hors de l'ordinaire.

Hier, Caroline, rue de l'Annonerie Vieille, "on attire vraiment les stars .... Après Fabrice Lucchini, Johnny Deep!"

Ensuite, elle revient dans son quartier ,autour de la place Miollis.

Caroline a un jugement sévère sur son voisinage: " l'avantage d'habiter dans un quartier friqué c'est que lorsque ça jette , ça jette peu mais ça jette bien . Déja vus : le buffet art deco, la lampe vintage, le canapé à l'ancienne, la vieille machine à coudre, les boites de chaussures dior (helas vides ... ) .... 

et même, la nourriture est au niveau. le soir les poubelles de certains commerçants sont tres courues. ça a fini par m'etonner et hier soir, j'ai donné de ma personne (on voit d'ailleurs mon pied droit sur une photo) pour aller investiguer. les poubelles Hediard notamment sont tres fouillées. maintenant je comprends "

Effectivement, on commence à se rapprocher du rêve de HDP: manquent encore le fois gras et le Champagne, et on est bon pour le cocktail mondain.

Pour moi, ce matin, une image insolite à 9h, rue Nostre Seigne:

En y regardant de près, ce n'est pas un dépôt sauvage: il s'agit en fait d'un des plots "anti-stationnement" de la place des Fontêtes, qui a été descellé dans le cadre des travaux.

On notera que le poids des objets transportés ne compte pas, en fait. Et pourtant, faire 10m avec un sac poubelle, c'est trop fatigant. Mystère de la psychologie. 

Et puis, rue de la Treille, toujours à 9h:

Le plus étonnant, c'est quand même qu'il n'est que 9h du matin. Il s'en est jeté des choses, depuis hier soir 20h30!

Dans la même rue, un peu plus tard, Caroline a fait une autre découverte: " un maaaaaaaaaagniiiifique cadre avec photo rue de la Treille ..."

Bizarre, je pensais que les gens étaient plus soucieux que ça de leur vie privée..

Et pour finir, la palme du jour revient encore à Caroline, en plus, bien sur, rue des Epinaux, au coeur du triangle des Bermudes:

Caroline va finir par me filer des complexes. mais, comme dirait l'autre: je l'aurai un jour, je l'aurai!