24 octobre 2009
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17:09
Ce samedi aura été une journée en demi-teinte.
Le matin semble encourageant: voici la photo prise vers
9h00.
Je ne sais à qui il faut attribuer la "virginité" des lieux. Cette photo permet néanmoins d'expliquer certaines choses: le visiteur candide de ce blog remarquera que, lorsque des détritus sont
entassés à droite de la "corbeille à papiers" (sic) la prise d'eau est inaccessible à l'employé municipal chargé d'asperger la chaussée le matin. Ceci expliquant peut-être certains
loupés.
Le soir vers
18h15, on retrouve une photo plus traditionnelle:
Je dirais même que c'est relativement peu pour un samedi. Il est vrai qu'un camion de ramassage est passé vers 17h. Peut-être que des Rtas Noirs sont prtis en week-end, voire en vacances de
Toussaint. Ils l'ont bien mérité!
23 octobre 2009
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15:11
Aujourd'hui, un reportage un peu plus détaillé
On commence par la photo du matin, traditionnelle, prise à
8h40:
Pour reprendre mon expression favorite, légère pollution nocturne, avec une belle tentative d'empilement sur la corbeille; (Un pâtissier répétant sa pièce montée, une équilibriste?) On remarquera
(parce qu'on a de bons yeux) la vitre cassée sur le sol; sympa pour celui qui doit ramasser!
Vers 9h45, un ramassage "hors planning" a lieu..
Mais, vers
midi, je repasse au même endroit. Il y a du neuf:
Petite note d'humour (?): on a jeté un paillasson! Pas l'usage à la maison, je suppose, les rues sont peut-être plus propres que l'intérieur...
En tout cas, ceci nous conforte dans l'idée que la multiplication de collectes dans la journée n'améliore pas la propreté; au contraire, pourquoi respecter les règles du jeu, puisque de toute
façon, "on" ramasse au fur et à mesure.
Retour à
18h. Visiblement "on" n'a pas ramassé dans l'après-midi.
Une petite couche supplémentaire, en attendant les poubelles "licites" de 19h qui viendront éventuellement s'ajouter.
Bon, c'est tout pour aujourd'hui: à chaque jour suffit sa peine.
22 octobre 2009
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10:13
Comme on pouvait s'y attendre, le chauffe-eau n'a pas bougé. Mais à
8h30, l'environnement a légèrement changé: l'équipe du soir a été remplacée par l'équipe du
matin. Il est plus joli maintenant: hier soir il pleuvait et il faisait sombre.. Ce matin il fait soleil.
Retour sur les lieux à
17h40. Le chauffe-eau a disparu. Heureusement, car il y avait besoin de place pour l'arrivage de l'après-midi.
On notera que l'usage du sac devient de plus en plus facultatif.
A propos du chauffe-eau, deux commentaires:
- Il semble que la communication entre le ramassage des poubelles et celui des "encombrants" marche mieux; un service alerte l'autre en cas de besoin. Cela ne marchait pas il y a 1 an, ça
fonctionne aujourd'hui. Dont acte
- Je croyais que lorsqu'un distributeur livrait un gros équipement électroménager chez un particulier, il était tenu de remporter l'ancien équipement C'est le cas par exemple pour une machine à
laver. Peut-être le nouveau chauffe-eau a-t-il été livré à dos d'homme? Et le livreur était trop fourbu pour emmener l'ancien?
RAPPEL: ce soir, réunion du Comité d'Intérêt de Quartier On y sera!
Compte rendu demain.
21 octobre 2009
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12:08
Ce matin, à
8h40, la routine:
N'est il pas inquiétant que cela finisse par sembler rassurant qu'il n'y ait "que ça", sans gravats, sans meubles en morceaux?
eh bien, l'inquiétude a été de courte durée: le soir à
19h40, le retour d'un vieil ami:
Réflexion faite, ce n'est pas le même chauffe-eau qui est revenu sur les lieux du crime, c'est plutôt son petit frère. On peut toujours se demander pourquoi le véhicule qui a amené son
remplaçant n'a pas pu l'emmener à la décharge. c'est ça, la pensée à sens unique?
20 octobre 2009
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16:34
Encore une journée qui démarre en fanfare. Il est
8h45, donc ils se sont levés tôt se matin.
Pour l'anecdote, j'ai loupé de peu une Rate Noir ce matin. A peine avais-je pris ma photo, comme je m'éloignais vers mon boulanger favori, j'entendis un bruit de sac tombant sur le tas. Le
temps de me retourner, je ne vis que le dos d'une jeune femme (dont je ne doute pas qu'elle soit charmante) qui disparaissait dans la rue Mérindol vers la place des Fontêtes.
Mademoiselle, la prochaine fois, faites moi signe, je me ferai un plaisir de vous immortaliser dans votre activité la
plus productive. D'accord, Poubelle-la-Vie, ça n'est pas Gala, mais il faut un début à tout.
Bon sachez le, à
8h46, il y avait un sac de plus sur le tas.
Un ramassage a eu lieu vers 10h.
Retour sur les lieux à
18h. Pour être franc, je me léchais les babines d'avance, car, vers 16h, j'avais vu un très joli tas, sur lequel j'avais déjà préparé un
texte vengeur. Las...
Déçui
Il y donc eu un ramassage (conséquent) entre 16h et 18h. Espérons que ces ramassages intermédiaires ne sont pas perçu comme une approbation par les rats Noirs. Espérons aussi qu'il y aura quand
même le nettoyage quotidien vers 20h.
20 octobre 2009
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10:57
Hier soir, dimanche, le tas était impressionnant. le problème est que le ramassage n'est pas assuré le dimanche soir.
Donc, logiquement, à
8h00, ce lundi matin, ça ne s'est pas arrangé...
L'observateur avisé constatera l'effet "dépôt d'ordures" s'est accentué: il y a ce matin des bouteilles jetées sur le tas. Cela s'appelle l'instinct grégaire. Personne n'a uriné dessus. Pour ça, il
y a le petit recoin à 2 mètres à droite..
Soyons honnêtes: le ramassage a eu lieu vers 9h.
Retour le soir, vers
19h. Il commence à faire sombre.
Pas de commentaire particulier; c'est la routine...
18 octobre 2009
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16:44
Nous sommes rentrés très tard cette nuit, d'un dîner chez des amis. Vers minuit, l'endroit était propre. Du coup, le première photo du jour a été prise seulement vers
11h45:
La routine.. peut-être ne suis-je pas le seul à avoir fait la grasse matinée.
Effectivement, ils se sont levés tard, mais en forme. retour sur le lieu du délit à
18h25.
Entassement impressionnant, avec en prime, encore une fois, des emballages en vrac; quand nous disons que le lieu est considéré comme un dépôt d'immondice à ciel ouvert, ce n'est pas une clause de
style.
Je n'entrerai pas dans le débat de savoir si les auteurs de ces actes sont plutôt "des jeunes" ou "des vieux". Comme le chantait fort justement Georges Brassens:
"le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on est con...."
17 octobre 2009
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12:35
J'étais un peu découragé par les résultats d'hier.
En partant au marché sur le coup de
10h45, un choc!
UN MIRACLE!
Bon du calme, on va attendre ce soir avant de sabler le
champagne..
Mais le lecteur fidèle et attentif aura remarqué qu'on a décroché du mur notre
affichette donnant les coordonnées du blog. O, gentil voleur,
j'espère que c'est pour la bonne cause, et pour rejoindre la troupe des fidèles. Peut-être, maintenant que tu as rentré notre adresse dans te favoris, peux-tu la remettre?
de toute façon je la remettrai en faisant la photo du soir.
Bon, le suspense était intenable. j'ai quand même tenu jusqu'à 17h55.
Accrochez vous, voilà le travail:
Bon, ben, mes enfants, le champagne n'est pas pour ce soir, ou alors un mousseux "cuve close"; les
rats noirs n'étaient pas partis; ils avaient reculé pour mieux prendre leur élan; on appréciera en particulier le fait que, au milieu du tas de sacs, on aperçoit un aspirateur...
De mon coté, j'ai recollé l'affiche du blog et remplacé le petit tract de la Mairie qui avait été déchiré. Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage, polissez le sans cesse, et le
repolissez... Il en a de bonnes, le Vieux; moi, je crains la crampe du polisseur.
16 octobre 2009
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15:54
Un matin comme les autres. Je n'ai pas entendu le camion passer ce matin. Donc, pas de surprise, à
8h45:
Pas de surprise, mais ils ont fait fort: on retrouve ici les cartons pizza jetés à même le sol: l'endroit est effectivement perçu comme un dépôt d'immondices à ciel ouvert. Je trouve que la
taxe d'habitation est un peu élevée pour avoir le droit de vivre dans un dépôt d'ordures...
Retour sur les lieux vers
18h10:
Intéressant renouvellement, avec une touche de couleur.
Commentaire: visiblement, il y a eu ramassage entre les 2 photos: les cartons pizza ont disparu. On peut se poser la question: augmenter la fréquence des ramassages n'encourage-t-il pas les
dépôts à tout moment, puisque de toute façon le camion va passer?
16 octobre 2009
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15:53
on est désolé, mais la grève des images continue. Notre photographe craint-il le licenciement si la Brigade Verte fait trop bien son boulot...
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