Vendredi 9 décembre: la République nous appelle

C'est à Hubert que nous devons la série d'images de ce jour. Comme souvent, nous tournons autour du thème de l'équipement de la maison. Bric à brac, pas si sympathique que ça...

Nous démarrons donc boulevard de la République, un matin à 11h. Ce n'est pas la première fois que nous découvrons ce joli rôle de "Gardien des Containers" (ça a un côté société secrète: on dirait un grade d'initié de haut niveau) à moins que ce soit plus prosaîquement celui de "dame poubelle" (variante de la dame pipi mais là, manque la soucoupe). Au moins, c'est une situation assise.

Toujours sur le même boulevard, cette fois le lundi 5, à 11h10. On ne sait pas ce qu'i y avat à la télé ce soir là, mais visiblement, ça n'a pas plu.

Politique ou football, où alors 25eme rediffusion de Walker Texas Ranger. Tout ça c'est énervant, c'est vrai.

Ce qui est rigolo, c'est que le lendemain le mardi 6, à la même heure (Hubert, c'est un peu comme Kant: on peut régler sa montre sur ses horaires!), on peut constater que le tri sélectif a fonctionné à plein.

On a ramassé le plastique, mais la partie électronique est restée. C'est bien de respecter le srègle s de récupération des métaux rares. Ou alors on va nous expliquer que les carcasses plastiques, c'est du ressort de la municipalité, alors que les écrans, c'est la Communauté de Communes... 

Décidemment, c'est bien compliqué la vie d etrieur sélecteur.

On termine toujours boulevard de la République, toujours le 6, toujours vers 11h10...

Et dire qu'il y avait une étagère pour poser la télé dessus... 

Ne sommes nous pas à l'aube d'un nouveau génocide mobiliaire? Au fur et à mesure que l'on remplace nos bons vieux tubes cathodiques par des écrans plats, quel est le devenir des "meubles-télé" de notre jeunesse? Plus besoin de machins profonds de 80cm. On peut même les accrocher au mur, les nouvelles télés.

Enfin, on va bien leur trouver un autre usage; pourquoi pas une étagère de bar, por aligner les bouteilles?