Aujourd'hui, c'est un de ces jours sans inspiration, tellement banal qu'on se demande à quoi ça sert de répêter toujours la même chose, avec quasi les mêmes images...
J'ai un peu honte de vous montrer, une fois de plus mon point test, rue Nostre-Seigne, où les écolo-crados persistent et signent...
Rue Lieutaud, c'est la même rengaine, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit.. Et aujourd'hui, même les chiens n'ont pas eu d'imagination...
Heureusement, il y a les copains qui vous viennent en aide dans les moments de déprime tenez, Hubert, par exemple, voilà un ami sur lequel on peut compter!
Et en plus, sa première image rappelle une des dernières que j'avais postées. ( Jeudi 20 octobre: le spleen de Caroline.) Encore un coup des briseurs d'écrans, cette fois rue Joffre.
Hubert commente: " Quand on dépose des encombrants et que ce n'est pas ramassé, voilà ce qu'on découvre la matin quand les fêtards sont passés la nuit...". En fait, nous mettons le doigt sur la fameuse "chaine de valeur" chère aux économistes de tout poil. Chacun, dans la horde de Rats Noirs, apporte sa petite contribution....
Sans parler bien sur de l'immense opportunité offerte par les zones de travaux...
Ici, rue Mignet: puisqu'elle est barrée la rue est à nous!
Et, à l'angle de la rue de Suffren, il y a presque des moyens de camouflage:
"Pour polluer heureux, polluons cachés"... "rue en travaux et en plein après midi!"
Finalement, je pensais que l'intervention d'Hbert allait me redonner le moral. Mais son dernier cliché n'est pas très ravigorant... Il l'a prise rue de l'Aumonerie Vieille...
Et il propose d'appeler ça "Génération perdue"
Pour paraphraser Pierre Dac, ils ont leur avenir devant eux, mais ils l'auront dans le dos chaque fois qu'ils fernt demi-tour. Enfin, s'ils veulent changer d'air, les voyages forment la jeunesse. Et je leur ai trouvé une valise rue de la Treille.
Toujours pour paraphraser, leur avenir, c'est vraiment la valise ou le sac poubelle?