Dimanche 11 avril 2010: les beaux dimanches de printemps..

Il faisait un très beau soleil ce matin. C'est donc avec bonne humeur que je parti vers 11h, vers la place de l'Hôtel de Ville, pour acheter mon journal et le dessert du dimanche.

Je monte donc par la rue des Cordeliers, et au coin de la rue la rue de la Verrerie, première station: espacés sur le bord de la chaussée, des sacs tous les 5 mètres. Prime de régularité.

Un peu plus loin, contre le mur de la Mairie:

Bien sur, c'est dimanche, donc, la Mairie n'y est pour rien.

Quoique...

Peut-être que la Brigade Verte devrait ouvrir les sacs pour voir s'il n'y a pas de documents personnalisés.. 

la photo suivante n'a rien à voir - ou presque - avec notre sujet habituel, mais je n'ai pas pu y résister. 

La place de l'Hôtel de Ville, avec la Mairie, l'ancienne Halle aux Grains et sa fontaine, est quand même un des plus beaux ensembles architecturaux de la ville. Je suis sur que Fabrice Lucchini adore!

C'est pour celà que la place est piétonnière, afin que les touristes et les badauds puissent profiter du site...

C'est d'ailleurs amusant de voir les candidats photographes se faufiler entre les bagnoles pour photographier vers le haut. Et pour cause, une photo de parking, ça n'intéresse personne!

Bon, je vous fait grâce des petits sacs à droite et à gauche, rue du Félibre Gault, rue des Marseillais etc et je vous ramène dans mon quartier...

Rue de la Treille, en fait, il y a 2 containers. Celui ci en général est plutôt bien tenu. Il est situé tout au baut de la rue, en bas de la rue du Bon Pasteur:

On appréciera le positionnement tout à fait stratégique du parcmètre. Vraiment encourageant..

Peut être que la raison de l'état de ce container est lié à celui de l'autre, celui à l'extrémité de la rue Nostre-Seigne, que je vous montre régulièrement. Du coup, vous avez droit à deux photos..

D'abord, vu de la droite:

Un sommier un fauteuil, des fringues...

Puis, vu de la gauche:

Bien,le voilà, le matelas! Pour être très franc avec vous, j'ai pris ces photos un peu plus tard, vers midi; quand je suis passé à 11h15, il y avait une femme qui fouillait et récupérait des objets.. je n'ai pas voulu la photographier.

           

Comme toujours, retour par la rue des Muletiers; comme je dis à chaque fois, on n'est jamais déçu, devant l'immeuble qui abrite la salle Voltaire.

Vous ne trouvez pas que les téléviseurs à tube cathodique ont tendance à pleuvoir, ce printemps?

On atteint alors la place des Fontêtes. Le chantier n'est pas terminé, loin de là...

Mais on a commencer à repaver. (cf épisodes précédents) C'est d'ailleurs assez réussi. Du coup, la vie normale tend à reprendre son cours...

Ah, la poésie des vieilles pierres.

Et juste en rentrant chez moi, juste à coté de la maison, le bricoleur du week-end a encore frappé.

Et quand on pense que le Créateur a choisi de se reposer le septième jour, et dit qu'il fallait faire de même...

Visiblement, il n'avait pas anticipé la vie des collecteurs d'ordures ménagères!